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bandu2 : menu_arrow.gif Article: Pas forcement comme on le veut - 08/07/2009 14:28

Pas forcement comme on le veut

Pas forcement comme on le veut

Salam ‘Aleykoum

 

Un jeune homme s'apprêtait à obtenir son diplôme de fin d'étude.

Pendant plusieurs mois il avait admiré une belle voiture de sport exposé dans un showroom,

 et sachant que son père pouvait bien la lui offrir, il lui avait déjà dit que c'est ça qu'il voulait comme cadeau.

 Comme le jour de la remise des diplômes s'approchait, le jeune homme s'attendait à voir des signes que son père lui avait déjà acheté la voiture.

 Finalement, au matin du ‘’ jour j’’, son père l'appela dans son bureau et il lui dit comment il était fier d'avoir un fils aussi intelligent et formidable, et comment il l'aimait beaucoup.

Le père tendit à son fils une boite dans un emballage cadeau, curieux mais aussi déçu le jeune homme ouvrit la boite et découvrit un beau Coran avec une couverture en cuir.

Très furieux, il éleva la voix à son père et lui dit : " avec tout ton argent, tu ne m'offres qu'un Coran ??? " et claquant la porte, il sortit de la maison en laissant derrière lui le Saint Coran.

Plusieurs années sont passées et le jeune homme se trouva couronné de succès dans le monde des affaires, il s'acheta une grande et belle maison et il fonda une famille merveilleuse;

 il se souvint de son père qui était devenu très vieux et se dit qu'il devait aller le voir, car il ne l'avait plus revu depuis le jour ou il avait obtenu son diplôme.

Juste avant de partir, il reçut un télégramme lui disant que son vieux père venait de mourir et qu'il avait cédé tous ses biens à son fils.

Il devait donc partir immédiatement pour s'occuper de son héritage.

Quand il arriva dans la maison de son père, soudain, son coeur fut rempli de tristesse et de regret...

il se mit à fouiller dans les dossiers importants de son père et il tomba sur ce Coran à l'endroit même où il l'avait laissée il y a plusieurs années...

il éclata en sanglots, ouvrit le Coran et se mit à tourner les pages.

Et comme il lisait ces paroles, une clé de voiture tomba d'une enveloppe qui était collée à la couverture à l'arrière du Coran.

La clé avait une étiquette avec le nom du concessionnaire du showroom, le même concessionnaire qui vendait la belle voiture de sport qu'il désirait tant avoir et sur l'étiquette figurait la date du jour de la remise de son diplôme, et ces mots...

TOUT A ETE PAYE

 Combien de fois ne sommes-nous pas passes à coté des bénédictions de Dieu, simplement parce qu'elles ne viennent pas de la manière que nous le voulons?

Dieu n'est pas tel que nous le représentons

mais

 il est tel qu'il se présente a nous !

Si ceci a touché ton coeur, envoie-le à d'autres !

Que Dieu te bénisse.

 

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Longue est la route de cet exil qui mène à soi... - 02/05/2009 12:09

Longue est la route de cet exil qui mène à soi...
Longue est la route de cet exil qui mène à soi...
 
Une femme, un homme
Au cœur de la modernité
 
 
A l’observer, à le comprendre, notre monde paraît inaccessible. Les jours passent et confirment la folie des hommes. Emportés, ici, par la technique et le bruit, ils vivent de la vitesse, de l’informatique, de la musique et du cinéma... alourdis, là-bas, par la faim et l’ennui, ils survivent dans l’attente, dans l’espoir, dans le silence... comme au cinéma d’ici. Les temps modernes ont, pour nos mémoires, le souci de l’image. Et l’infinie négligence de la réalité et du sens.
 
A l’Orient comme à l’Occident, notre époque donne naissance à la plus grande famine jamais constatée sur la terre. La torture des corps fait écho à la souffrance des âmes : les corps et les cœurs ont faim d’humanité. La pauvreté, l’errance, les dictatures, les guerres bafouent chaque jour la dignité de plusieurs milliards de femmes et d’hommes. La solitude, l’individualisme, la misère morale, le manque d’amour rongent l’être de tous ceux que le confort devait contenter. Où est la voie ? Où allons-nous ? Comment être unefemme, comment être un homme aujourd’hui ?
 
Comment, au cœur de cette tourmente, répondre à notre cœur et protéger la spiritualité qui nous fait être ? Comment, sur les ruines de tant de déséquilibres, enfanter l’équilibre et l’harmonie qui apaisent les cœurs ? Comment rester fidèle au pacte de l’origine quand la modernité nous rend si infidèles à notre humanité ? Mémoire du premier matin :
 
"Quand ton Seigneur tira des reins d’Adam sa descendance et les fit témoigner : ’Ne suis-je pas votre Seigneur ?’ -Ils répondirent : ’Certes, nous en témoignons’ "
 Coran 7/172
 
Ce témoignage, qui vit au plus profond des cœurs, qui nous parle et nous appelle. Notre cœur est notre espoir ; la spiritualité est notre chemin :
 
 
"Ce ne sont pas les yeux qui sont aveugles, mais les cœurs, dans les poitrines"
 Coran 22/46
 
Chercher, au fond de soi, la force de voir, de voir vraiment... Etre avec Dieu pour lire ses signes, vivre de son souvenir pour s’emplir d’humilité, donner à la nuit sa lumière et prier à voix haute dans un infini silence :
 
 
"Nous allons faire descendre sur toi une parole de grand poids : la prière du début de la nuit laisse une empreinte plus forte et permet une attention plus soutenue ; tu as, dans la journée, de nombreuses occupations. Invoque le nom de ton Seigneur ; consacre-toi à lui de tout ton être. Il est le Seigneur de l’Orient et de l’Occident ; il n’y a de Dieu que lui"
 Coran 73/5-9
 
 
Donner vie à son cœur est difficile, tellement. Le quotidien du monde nous vole à nous-mêmes. Au point, parfois, de rendre double notre personnalité et de nous déchirer. J’ai ce souvenir, si présent à mes yeux... une image, en Tunisie, en Egypte, en Inde, aux Etats-Unis, en Europe...à l’Orient comme à l’Occident. Vendredi et jours de semaine : le déchirement du monde musulman est là.
 
La foule. La communauté. La ferveur. L’espoir et les meilleures intentions. Le plus beau jour de la semaine, le jour de tous les symboles. Le sermon, le rappel du sens, les yeux mouillés, les larmes du cœur... Le monde de l’islam vibre : en ce vingt et unième siècle comme au début du septième, Dieu est témoin de cette force de la foi. Vendredi...les mosquées s’épanchent, les rues sont mosquée, la terre est mosquée. La Ummah est là. Le pauvre et le riche, l’informaticien et l’analphabète, témoins du même témoignage, étanchant la même soif. 
 
Samedi, dimanche, lundi et le reste. Cinq heures du matin, midi ou quatre heures... Le sommeil est lourd, les occupations pré-occupent. Tant de silences vendredi, tant de mots les autres jours. Tant de vérité, puis tant de mensonges ; tant d’espoirs, puis tant de plaintes ; tant de volonté, puis tant de paresse. Il y avait la mémoire, il reste l’oubli. Il y avait tant, il reste si peu. Jours de semaine : le quotidien a ses raisons qui ont raison de notre fidélité. Notre époque est une torture. La spiritualité est une épreuve.
 
Vendredi et jours de semaine. La blessure est profonde. D’aucuns, observant les vanités de ce monde, emprunteront les voies de la mystique... loin du monde, loin des ambitions, loin des conflits. Nourris, à la lumière de la seule Lumière. En Occident, on a même considéré que tel était "le véritable islam", l’ "autre islam" ; celui qui force le respect, quand il est un islam qui agresse les esprits. Il faudrait vivre loin, pour vivre mieux ; délaisser les hommes pour s’approcher de Dieu. Notre époque semble donner raison au sens de cet exil.
 
Les soufis, par leur contemplation, par leur exil intérieur, par leur éloignement du monde, ont suivi, et suivent encore, l’exemple de Muhammad (BPSL) qui passait des nuits entières en prière, en recueillement, à embellir sa mémoire, à approfondir sa reconnaissance, à parfaire son adoration. Les larmes, nées de la méditation, faisaient apparaître les signes dans l’univers. La présence du sacré :
 
 
"Il y a, dans la création des cieux et de la terre, dans la succession des jours et des nuits, des signes pour ceux qui sont doués d’intelligence. Ceux qui se souviennent souvent de Dieu, debout, assis ou couchés et qui méditent sur la création des cieux et de la terre"
 Coran 3/190-191
 
Au cœur de notre quotidien agité, noyé dans les occupations les plus envahissantes, faire un pas en arrière, s’exiler au centre de soi, chercher la force de sa mémoire, aimer et reconnaître, remercier et prier... dans le bruit, chercher le silence et vivre avec force le sens de ces mots :
 
"Sois sur la terre comme un étranger, ou un passant"[1]
 
Cette spiritualité est la nôtre, avec ses exigences également, au cœur de notre quotidien. Il s’agit de ne rien nier de notre être, ni notre corps, ni notre esprit, ni cette vie, ni l’au-delà. L’épreuve de la spiritualité est l’épreuve de l’équilibre ; la voie du "juste milieu" est la voie de toutes les difficultés. Certains ne veulent que la vie de ce monde, et ils se perdent :
 
"Parmi les hommes, il en est qui disent : ’Notre Seigneur, accorde-nous les biens de ce monde’ ; mais ils n’auront aucune part dans la vie future"
 
D’autres, à la mesure de leur humanité, veulent être ici pour mieux être là-bas :
 
 
"Parmi les hommes, il en est qui disent : ’Notre Seigneur ! Accorde-nous des biens en ce monde et des biens dans la vie future"
 Coran 2/200-201
 
Vivre au quotidien, travailler, s’engager. Mettre sa foi à l’épreuve de ses actions, de ses colères, de ses déceptions. Etre avec Dieu, parmi les hommes et donner à ce que l’on a, le sens de ce que l’on est :
 
 
"Recherche, au moyen des biens que Dieu t’a accordés, la demeure dernière. Ne néglige pas ta part de la vie de ce monde. Sois bon comme Dieu est bon pour toi. Ne recherche pas la corruption sur la terre. Dieu n’aime pas ceux qui sèment la corruption"
 Coran 28/77
 
Etre de tout son être dans cette vie et porter le témoignage de sa foi par l’action de justice et de bonté. Ne rien refuser de ce que l’on est pour être de tout son être. Devant Dieu, pour les hommes :
 
"Le meilleur des hommes est celui qui est le plus utile aux hommes"[2]
 
Pourtant, notre époque nous met au défi. La société du divertissement et de la consommation à outrance, l’individualisme généralisé coexistent avec le dénuement le plus extrême, la misère la plus totale. Devant ces fatalités, où est le sens ? Emplis dusouvenir de Dieu, à quelle source, au cœur de cette modernité, pourrons-nous étancher notre soif ? 
 
Chacun connaît les détours de cette vie qui tue quelque chose en nous : assis devant les écrans de télévision, assommés par des torrents d’informations, paralysés par l’ampleur des fractures. Dire Dieu, et vivre sans vie. Perdre son esprit parce que l’on perd son cœur. Jour après jour.
 
On aimerait pourtant tellement savoir être un homme, pouvoir être une femme. Devant Dieu, dans le miroir de sa conscience, dans le regard de ceux qui nous entourent. On souhaiterait tellement trouver la force d’embellir ses pensées, de purifier son cœur. Vivre dans la sérénité, cheminer dans la transparence. C’est l’espoir de tous, c’est l’attente de chacun : la paume des mains orientées vers le ciel, patiemment. Au cœur de la modernité.
 
Un homme, une femme. Etre, simplement ; être bon et faire le bien. Quel homme n’a-t-il pas espéré être pour sa compagne l’horizon de ses attentes ; marcher sur la même rive et, de tendresse et de pardon, faire de leur union un signe : un couple qui soit à l’humanité ce que le soleil est à la nature. Chaleur et signe de la création. Quelle femme n’a-t-elle pas voulu, de cette même volonté, être pour l’époux l’énergie du chemin. Au cœur de la modernité.
 
Quelle mère, quel père, quels parents n’ont-ils pas espéré pour leur enfant l’espace le plus harmonieux, la famille la plus unie, la force intérieure la plus libératrice. Qui n’a-t-il jamais espéré voir dans les yeux de son fils ou de sa fille, au fond de leur cœur, l’étincelle qui dit la reconnaissance et la conviction qui fait la foi ? Quel fils, quelle fille n’ont-ils pas désiré vivre entre deux êtres portés par leur amour, nourris par leurs valeurs, forts de leur cohérence. Au cœur de la modernité.
 
Des choses si simples dans une époque si troublée. Etre bon, et faire le bien. Devant Dieu. C’est le sens de cet appel, scandé plus de dix-sept fois par jour, hier comme aujourd’hui, au cœur de la modernité :
 
 
"Guide-nous (ô Dieu) sur la voie de la droiture"
 Coran 1/6
 
Cheminer sur la voie droite, la voie du juste milieu, se souvenir de Dieu et garder en son cœur le sens des valeurs et des finalités. Cheminer, cheminer toujours, malgré les écueils et les adversités, malgré les injustices et les horreurs, espérer en Dieu pour ne pas désespérer des hommes et des événements. Cheminer, cheminer encore, essayer d’être un homme, essayer d’être une femme, simplement. Dans la transparence, dans la clarté, accepter ses faiblesses et son humanité, au cœur du pardon trouver la force de son humilité. Etre humble, pour être, au cœur de la modernité. Et la mémoire, et le rappel :
 
 
"Souviens-toi de ton Seigneur, en toi-même, à mi-voix, avec humilité, avec crainte, le matin et le soir. Ne sois pas au nombre de ceux qui sont négligents. Ceux qui demeurent auprès de ton Seigneur ne se considèrent pas trop grands pour l’adorer. Ils le glorifient et ils se prosternent devant lui"
 Coran 7/205-206
 
 
Face à tous les individualismes inhumains, face à tous les réflexes de consommation, face à toutes les illusions télévisuelles ou cinématographiques, face à toutes les négligences... en refusant toutes les injustices, en s’opposant à toutes les exploitations, en luttant contre toutes les misères... dire, et affirmer avec détermination, la force de cette humilité et de cette confiance en Dieu. Infiniment. Dans l’action, chercher la route ; avec la patience s’armer de lumière. Dans la fraternité des hommes contre la société des individus, dans l’union des libertés contre l’égoïsme des indépendances. La voie droite, au cœur de la modernité : notre spiritualité, en notre cœur, est au cœur de la vie.
 
Refuser la négligence. Et entendre, entendre du plus profond des âges, entendre et écouter, la voix de l’ancien esclave Bilal appelant le fidèle à sa fidélité, par jour cinq fois, et pour l’éternité. Chercher, dans l’écho de cette voix, au rythme des prières... chercher et trouver la direction, la voie. Au cœur de la modernité.
 
 

 

[1] Hadîth rapporté par Bukhârî
[2] Hadîth (hassan) rapporté par al Qadâ’î et a’ Dâraqutnî
 

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Pas de temps - 11/07/2009 12:30

Pas de temps

Pas de temps

 4 ans...

trop jeune pour penser à ALLAH!

7 ans...

 trop insouciant pour penser à ALLAH!

15 ans...

 trop bête pour penser à ALLAH!

18 ans...

trop tèmeraire pour penser à ALLAH!

 Jour du mariage...

 trop heureux pour penser à ALLAH!

 Famille fondée...

trop de souci pour penser à ALLAH!

Maladie...

trop mal pour penser à ALLAH!

Travail...

trop occupé pour penser à ALLAH!

 Vieillesse.. .

trop vieux pour penser à ALLAH!

LA MORT...

TROP,TROP,TROP TARD POUR PENSER à ALLAH!

 Petit message de rappel ça fait pas de mal Envoi à tout ce que tu veux voir à tes cotés au Paradis

INCH'ALLAH

Fais beaucoup de bien, puis va le jeter dans le fleuve. Si les poissons l'ignorent, Dieu le saura."

 Amadou Hampâté Ba

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Patiente - 11/07/2009 12:35

Patiente

                                                                  Patiente

Alors qu'un homme nettoyait sa nouvelle voiture, son fils de 4 ans ramassa un caillou et fit des grafitis sur le côté de sa voiture.

 Dans un accès de colère, sans même regarder ce que représentaient les grafitis, l'homme prit la main de son fils et la frappa plusieurs fois; sans se rendre compte qu'il frappait avec une clé à molette.

A l'hôpital, le garçon perdit tous ses doigts, à cause des multiples fractures dont ils étaient victimes.Quand le garçon vit son père tout triste, (à cause de sa blessure), il demanda "papa, quand est-ce-que mes doigts vont repousser? l'homme fût très secoué par la question et resta sans voix.

Il repartît vers sa voiture et la cogna plusieurs fois. Dépité par ses propres actions, il s'assît devant la voiture. Alors il vît ce que son fils avait gribouillé sur sa voiture et lût: "JE T'AIME PAPA"

Le jour suivant, l'homme se suicida.

la colère et l'amour n'ont pas de limites.

 Choisis toujours le dernier pour avoir une belle et mignonne vie.

Les choses sont créées pour être utilisées et les Hommes pour être aimés.

 Mais le problème dans le monde d'aujourd'hui est que les Hommes sont utilisés et les choses sont aimées.

 Durant cette année gardons toujours ceci à l'esprit: les choses sont créées pour être utilisées et mais les Hommes sont créés pour être aimés.